Nippon (日本) – Le Japon, désigne l'île ou le pays.
Shikoku (四国) - Le premier, « 四 » (« shi »), signifie « quatre » et le second, « 国 » (« koku »), « pays ». Avant l'ère Meiji (1868-1912), l'île de Shikoku était divisée en quatre provinces : Awa(qui devient Tokushima), Tosa(qui devient Kochi), Sanuki(qui devient Kagawa) et Iyo(qui devient Ehime). Ce sont les 4 préfectures dont les noms seront utilisés en jeu.
Daimyō (大名, litt. « grand nom ») – Seigneurs féodaux puissants qui contrôlent des domaines étendus, souvent vassaux d’un Shugo. Chacun d’eux commande une armée privée, administre la justice sur ses terres, et entretient une cour locale.
Shugo (守護) – Gouverneur d’un territoire, suzerain de plusieurs Daimyōs et vassal du Shogun.
Kinjirō (金次郎) – Intendant financier, chargé de la gestion des richesses et récoltes du domaine.
Kashi (歌師) – Poète officiel, ou maître du chant, souvent présent pour les divertissements de cour.
Ajari( 阿闍梨) – maître moine, ayant reçu une transmission secrète et pouvant enseigner.
Hime (姫) – Signifie « princesse » ou « dame noble ». Utilisé pour désigner une femme de haut rang, souvent fille ou épouse d’un Daimyō. Ce terme évoque respect, grâce et statut élevé.
Sama (様) – Suffixe honorifique marquant un très haut niveau de respect, utilisé envers des personnes de rang supérieur ou dans des contextes formels (ex. : Daimyō-sama). Peut aussi être utilisé pour exprimer la révérence envers les divinités ou les clients.
San (さん) – Suffixe honorifique de politesse courante, utilisé dans les échanges respectueux entre individus. Moins formel que sama, il s’applique à presque toute personne dont on respecte la dignité sans pour autant reconnaître une autorité supérieure.
Monshu (門主) – Gardien de la porte, est un terme utilisé dans le bouddhisme japonais pour désigner le responsable d'un monastère. Dans le cas bouddhisme jōdo shinshū, il se réfère au chef spirituel de la secte, et descendant direct de son fondateur.
Tendai (天台宗, tendai-shū) – l’école du principale du bouddhisme orthodoxe japonais. (A l’époque les monastères bouddhiste peuvent être vus comme les templiers version Japon. Des chaînes de montagnes entières leur appartiennent et ils ont une armée de moines combattants à l’arc ou à la naginata. Il vaut mieux se convertir et faire appel à eux pour les cérémonies.).
Jōdo-Shinshū (浄土真宗, École véritable de la Terre pure) – courant religieux qui s'est affranchi du bouddhisme classique, devenant une foi hérétique aux yeux des moines orthodoxes.
Ikkō-ikki (一向一揆) – sont des foules de paysans, de moines bouddhistes, de prêtres shintoïstes et de petits nobles japonais, qui se soulèvent contre l'autorité des samouraïs.
Yōkai (妖怪) – apparition étrange, spectre, monstre, dont l'existence dépasse la compréhension humaine, dans les croyances populaires transmises par l'intermédiaire de la littérature ou la culture orale au Japon.